Le parti pris radical résidait dans la mise en place de murs gabions, interprétant la barricade publique. Le visiteur déambulait de manière ludique et fluide dans un réfectoire des cordeliers propice à une telle installation. L’ensemble des contenus de l’exposition se trouvait en grande partie directement appliqué sur ces gabions, jouant avec eux, par un subtil mélange de lumière, intérieure et extérieure à la structure. Quatre grandes images lumineuses invitaient le visiteur à passer d’une partie de l’exposition à l’autre, marquant les ruptures historiques.